Les nouvelles du Horla

DERNIERES NOUVELLES DU HORLA

Dans le cadre de CINEΦLOT, voici les principaux événements que Les Films du Horla organisent, cet automne 2024, avec ses partenaires :

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Du 9 au 15 septembre, célébration à Erevan (Arménie) du centenaire de Sergueï Paradjanov. Nouvelle exposition au Musée Paradjanov de la ville et projections auxquelles participeront les Films du Horla. Avec la projection en première arménienne au Lycée Français Anatole France d’Erevan du film Le manteau arménien de Jean Jacques Rousseau, présenté par son réalisateur.

Les 7èmes Journées Charles Boyer se dérouleront du 24 au 26 octobre prochain, en partenariat avec la ville de Figeac, le Grand Figeac, l’Astrolabe et la municipalité voisine de Fourmagnac.

En voici le programme définitif :

   7èmes JOURNEES CHARLES BOYER

Figeac  24-25-26 octobre 2024

Jeudi 24 octobre 20h30 Ouverture – Astrolabe – salle  Charles Boyer

LES QUATRE CAVALIERS DE L’APOCALYPSE (1962) film de Vicente Minnelli avec Glenn Ford, Ingrid Thulin, Charles Boyer. Rencontre amicale avec le public à l’issue de la projection.

Vendredi 25 octobre de 15h00 à 18h00 Salle Charles Boyer

L’HOMME DU LARGE (1920) film de Marcel L’Herbier avec Charles Boyer (son premier rôle) Jaque-Catelain, Roger Karl, partition musicale d’Antoine Duhamel.                                    Présentation par Alain Jomy, cinéaste et compositeur.

Vendredi 25 octobre à 20h30 salle des fêtes de Fourmagnac

GASLIGHT (1940) film de Thorold Dickinson avec Anton Walbrook et Diana Wynyard.  Excès et dérives du système hollywoodien (présentation par Patrick Cazals).

Samedi 26 octobre à 11h00  Hôtel Viguier du Roy.

Dotation d’ouvrages sur le cinéma à la bibliothèque C. Boyer.  Présentation du groupe Facebook Charles Boyer par sa créatrice  Martine Paternotte  – Cocktail Charles Boyer.

15h00  Astrolabe – salle Charles Boyer

LE CORSAIRE (1939). Histoire d’un film inachevé de Marc Allégret avec Charles Boyer (montage d’extraits inédits avec le concours des Archives du Cinéma du CNC)

Projection des films : Autour du Corsaire de Bruno Esquirol et  Cannes 1939, le Festival n’aura pas lieu de Julien Ouguergouz présentés par les cinéastes et Alain Jomy, ancien assistant de Marc Allégret.

Contacts Cinéphilot : 06 85 21 33 04 et 06 72 59 48 84

L’affiche d’un film qui n’a jamais vu le jour

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Un hommage à Sergueï Paradjanov se déroulera à San Francisco et Berkeley (Californie) au Berkeley Art Museum et au Pacific Film Archive (musée et cinémathèque) à partir du 3 novembre prochain . Les Films Sergueï Paradjanov Le rebelle et La Muse et le magicien y seront diffusés en présence du réalisateur.

37 ANNÉES D’ACTIVITÉ !

Pour la 37ème année d’activités des Films du Horla,

n’hésitez pas à nous solliciter pour des projections-débats et conférences en présence
de réalisateurs autour de différents thèmes, de l’histoire du Cinéma ou des aventures littéraires et plastiques !

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Des accords financiers seront aisément possibles incluant la location de films et les frais d’intervention et de déplacement.

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Il est également possible de composer des soirées avec projections et lectures et la présence d’intervenants :
écrivains, historiens du cinéma, poètes, conférenciers…

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Nos contacts sont les suivants :

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FORMATS DCP DISPONIBLES Á PRÉSENT POUR LES CINÉMAS !

Nos longs métrages sur le cinéma et bien d’autres sont à présent disponibles en DCP pour les salles de cinéma et en DVD Blu-ray :

L’Énigme Charles Boyer
( 2019  – 60 m)

-Léon Moussinac, l’héritage de Spartacus
( 2017 – 60 mn)

-L’Ouragan  Kalatozov
( 2009 – 74 ‘ )

-Sergueï Paradjanov, le rebelle 
(2004 – 52 ‘)

-Hrabal, le tendre barbare
( 1992 – 55′)

-Le Chant de l’Alouette ou l’Héritage des Troubadours
( 1993 – 70′)

-Doisneau des villes, Doisneau des Champs
( 1994 – 55′)

-Les Bûcherons de la Tour Zizim
( 1995 – 70′ )

-Rouben Mamoulian, l’âge d’or de Broadway et Hollywood
( 2007 -63′ )

-Musidora, la Dixième muse
( 2015 – 65′ )

-René Depestre, chronique d’un animal marin
( 2004 – 62′ )

-Amrita Sher-Gil, une rhapsodie indienne
( 2003- 55 ‘ )

-Kali, des livres et des femmes
( 2003 – 26 ‘ )

NOUVEAUTÉS DVD  ET LIVRES-DVD

The Criterion Collection (Usa-Canada) a édité  en DVD et Blu-ray en Avril 2018
le chef d’œuvre de Sergueï Paradjanov Sayat Nova et en bonus notre film
Sergueï Paradjanov, le rebelle. Ils présentent en 2020 leur nouveau titre
consacré à Quand passent les cigognes avec notre titre L’Ouragan Kalatozov
en complément de programme.

Les Éditions de l’EnsAD (École Supérieure des Arts décoratifs de Paris) ont publié
en Janvier 2019  un livre-dvd réunissant le Journal des 60 ans de Léon Moussinac
et notre film Léon Moussinac, l’héritage de Spartacus .
Cet ouvrage est disponible sur notre site par Paypal au prix de 29 euros.

– En accord avec les anciennes Éditions H.Veyrier et à l’occasion de la rétrospective
Musidora à la Cinémathèque Française le livre  MUSIDORA, la dixième muse
est devenu depuis le 1er janvier 2020 un livre-dvd.

Un nouveau titre :  MUSIDORA-PIERRE LOUŸS, UNE AMITIÉ AMOUREUSE vient d’être publié par les Editions du Horla. Il est disponible sur notre site au prix de 25 € (port compris)
tout comme l’ouvrage CHARLES BOYER , L’ARDEUR ET L’ÉLÉGANCE.

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D’AUTRES NOUVELLES DU HORLA...

Le livre-dvd : SERGUEÏ PARADJANOV, MAESTRO CAUCASIEN ET UKRAINIEN, publié aux Éditions du Horla sortira avant la fin de l’année dans une nouvelle version, augmentée, par rapport à l’ouvrage publié en 1994 par Les Cahiers du Cinéma. Plusieurs présentations de l’ouvrage et des projections sont prévues à Paris, dans l’Ile de France et dans les régions.

Les livres-DVD consacrés à LÉON MOUSSINAC, MUSIDORA, PIERRE LOUŸS, CHARLES BOYER, sont à présent disponibles sur notre site comme dans les librairies spécialisées et auprès de nos diffuseurs habituels : ADAV, COLACO, CVS, Librairie du Cinéma du Panthéon, Librairie de la Cinémathèque française. 

– The Criterion collection (USA-Canada) a acquis nos films :

  • L’OURAGAN  KALATOZOV pour leur réédition DVD Blu-ray du film QUAND PASSENT LES CIGOGNES , le chef d’oeuvre de Mikaël Kalatozov.  
  • MUSIDORA LA DIXIÈME MUSE pour l’édition DVD Blu-ray du film IRMA VEP d’Olivier Assayas.

Un film-portrait consacré à l’actrice MARGUERITE MORENO est toujours en préparation, co-produit par la chaîne Ciné+ Classic avec le concours de la famille de Marguerite Moreno et des Films du Horla.

Une importante collection d’affiches originales de cinéma (grand et petit format – 3 200 exemplaires) ainsi qu’une collection de 130 bandes-annonces en pellicule 35 mm est disponible à l’achat auprès des Films du Horla.

Nos contacts pour les listes et informations :

Dans le cadre de l’Année de la Lituanie en France fin 2024, la nouvelle version du film « Les Tribulations de Mr Sartre et Mme de Beauvoir entre Caucase et Baltique » est à présent disponible. Elle évoque bien sûr la situation géopolitique actuelle.

Pour 2025 un projet est actuellement en préparation, liant le théâtre et le cinéma, autour de la pièce d’André Breton et de Louis Aragon « Le Trésor des Jésuites » créée pour une seule soirée à Prague le 17 mai 1935. L’actrice MUSIDORA devait en être la vedette pour la création en France.

Les ayants-droit d’André Breton et de Louis Aragon ont donné leur accord pour cette mise en scène qui devrait être créée à Prague le 17 mai 2025, 90 ans jour pour jour après son unique présentation mondiale dans cette ville !

Plusieurs représentations sont d’ores et déjà envisagées à Paris, dans divers centres dramatiques régionaux et dans plusieurs villes du Lot. La mise en scène serait assurée par Régis Santon, la partition musicale par Karol Beffa et la réalisation filmée par Patrick Cazals.

NOS DERNIERS FILMS

Vous pouvez également consulter la liste complète de nos productions sur la page Filmographie.

NOS DERNIERS LIVRES ET DVD

Vous pouvez également consulter la liste complète sur la page DVD & Livres.

Témoignages

Sergueï Paradjanov, le rebelle

« …Un collage documentaire foisonnant et intense, digne des compositions picturales du cinéaste Géorgien, roi de la récupération des matières ( poupées, dentelles, photos) aux heures sombres de sa vie… »

Sergueï Paradjanov, le rebelle

«  …Portrait chaleureux du cinéaste amoureux des objets, le documentaire esquisse plein de pistes, n’impose rien, évoque des mondes oubliés comme le Tbilissi des années 20, propose des leçons de cinéma en toute légèreté… »

Sergueï Paradjanov, le rebelle

« Le réalisateur laisse sa caméra s’enivrer :
son film sur Paradjanov à la façon de de l’Arménien de Tbilissi… »

Sergueï Paradjanov, le rebelle

«  … Paradjanov, filmé chez lui en Géorgie. On a du mal à y croire. Et pourtant c’est bien lui ! C’est pendant le tournage de son dernier film, Achik Kérib, que l’équipe de Patrick Cazals l’a rencontré et aussi chez lui, dans sa maison capharnaüm du quartier arménien de Tbilissi. C’est une grande première… »

L’ouragan Kalatozov

«  … An insightful account of a reserved man who paradoxically created rapturous, expressive cinema. collegues and historians, including Claudia Cardinale, describe the complicated way that Kalatozov made such radical works within the restrictions of filmmaking in the Soviet state… »

L’ouragan Kalatozov

«  Je suis tombée sous le charme…Les extraits des films de Kalatozov sont bien choisis et le message met du baume au cœur. En pleine guerre froide, le cinéaste, très engagé et conciliant, a toujours su rester libre et indépendant en mettant son intelligence et son talent au service de sa passion : le cinéma… »

L’ouragan Kalatozov

«  This extraordinary documentary illuminates the genius behind some of the most exquisite images ever set to celluloid by filmmaker Mikhaïl Kalatozov ( I am Cuba, Cranes are flying )… »

Musidora, la dixième muse

«  Même les vamps ont eu une mère, et leur ancêtre à toutes s’appelle Musidora… Or cette vamp mondiale, cette diablesse, ce canon, a laissé une silhouette, une légende, mais à peine un nom. Le cinéaste dresse enfin le portrait de cette pionnière du septième art, de son vrai nom Jeanne Roques, fille d’un compositeur également écrivain engagé et d’une militante… Elle avait toutes les audaces. Les surréalistes l’adoraient… Pour la suite de ce passionnant feuilleton, voir d’urgence cette enquête aussi révélatrice que fouillée sur l’une des plus brillantes actrices de l’Histoire. »

Musidora, la dixième muse

«  L’envoûtante Musidora, moulée  dans sa combinaison noire quatre vingts ans avant Michelle Pfeiffer – Catwoman dans le Batman de Burton -,rôde sur les toits de Paris dans le feuuilleton Les Vampires, que Louis Feuillade réalise en 1915. Un beau documentaire diffusé sur Ciné+ Classic dresse le portrait de cette séductrice, qui fut l’une des plus grandes stars françaises du cinéma muet. Et bien plus que ça… »

Musidora, la dixième muse

«  La séance du Festival de la Rochelle la plus émouvante a eu lieu un Dimanche matin, en clôture de la rétrospective consacrée à l’actrice-réalisatrice et à son maître, Louis Feuillade, en présence autour du réalisateur, de Meryriem Balensi, nièce et filleule de Musidora et de Marie-Claude Cherqui, sa petite-nièce, très étonnée de voir la figure sublimée et plus que jamais emblématique de leur tante, marraine et grand-tante hanter toute une ville. »

Rouben Mamoulian, l’âge d’or de Broadway et Hollywood

«  French director Patrick Cazals will attend this screening of his excellent video documentaries  Sergei  Paradjanov, the rebel  and Rouben Mamoulian, the Golden Age of Broadway and Hollywood which look at two different directors born in the Georgian capital of Tbilisi… The Mamoulian documentary also features fascinating interviews with its subject, covering both his stage and his movie work, and it confirms that Mamoulian, remembered mainly as a technical innovator, was anunderrated  and highly cultivated filmmaker. »

Rouben Mamoulian, l’âge d’or de Broadway et Hollywood

«  Vers la fin des années 1920, Mamoulian, né en 1897 à Tiflis, est le metteur en scène le plus en vue de Broadway. Passé par le Théâtre d’Art de Moscou, puis par les planches londoniennes… Sa première réalisation, Applause (1929) est d’emblée un film phénomène où il impose sa griffe, mélange de l’ambition plastique du cinéma muet et des premières audaces du sonore… »

Rouben Mamoulian, l’âge d’or de Broadway et Hollywood

«  Retour sur la carrière du brillant et injustement oublié Rouben Mamoulian, entre Broadway et Hollywood…Ce documentaire vient réparer cette injustice. Même s’il pouvait être despotique sur un plateau, ceux qui ont travaillé avec lui se souviennent d’un homme charmant, plein d’humour et extrêmement brillant. L’un de ces nombreux Européens sophistiqués – de Lubitsch à Wilder – qui auront fait la grandeur d’Hollywood. »

Doisneau des villes, Doisneau des champs

«  …C’est ce soir un hommage plein de verve et d’évocation poétique qui salue la mémoire de l’humaniste photographe disparu le 1er Avril. Aussi à l’aise sur le coin d’un zinc d’un bistrot que dans une courette fleurie de la rue du Château-des-Rentiers, le grand Robert, toute timidité rentrée avait la verve parisienne d’un gavroche…L’homme simple avait le contact avant le déclic. Ce soir, de Gentilly où il est né, à Montrouge, où il a fini sa vie, nous pourrons refaire le parcours de son existence…Un enchantement que ces paradis de Doisneau !

Doisneau des villes, Doisneau des champs

«  Quand on lui dit : « Circulez, y’a rien à voir ! » Robert Doisneau s’arrête et regarde. Derrière l’objectif, il y a le regard poète de l’ami de Prévert et de celui qui lisait Giono dans son laboratoire lorsqu’il  était photographe pour la Régie Renault. Cet homme là prend toutes les libertés.
Il braconne en quête d’images. La promenade dans laquelle il entraîne le réalisateur offre une charmante occasion de découvrir les secrets de sa flânerie professionnelle. »

Doisneau des villes, Doisneau des champs

«  Simple, chaleureux, humble et passionné, Robert Doisneau séduit par son talent et son humanité. Ce document, tout en confidences pudiques et souvenirs mi-nostalgiques, mi-joyeux, constitue un très beau miroir de l’art et de la personnalité de son sujet. »

Doisneau des villes, Doisneau des champs

«  Le do majeur, c’est le don du bonheur, suggère Robert Doisneau  dès les premières images, et c’est sans nostalgie que le vieil homme effleure les souvenirs d’une vie parcourue sur la pointe des pieds. Avec une délicatesse d’aquarelliste, le réalisateur du film laisse les contours du photographe disparu le 1erAvril émerger lentement. Portrait d’un poète au mystérieux don d’empathie, affirmant que pour bien photographier les gens il faut leur être semblable… »

Jean Lurçat, le rêve ensoleillé

«  Le chef de file du renouveau de la tapisserie aurait cent ans cette année. Joli portrait d’un artiste qui était aussi comédien et maquisard. Et philosophe ? La bonne idée de ce documentaire monographique : éviter les témoignages confus, suintant la déférence consensuelle, l’hommage forcé, et laisser la parole à l’artiste, vingt six ans après sa mort, mais surtout, alibi commémoratif, un siècle après sa naissance : l’écouter, par la voie/voix de Daniel Gélin, ressusciter, le retrouver, dans son atelier ou chez lui, vivre et œuvrer, regarder le fruit de son inspiration… »

Jean Lurçat, le rêve ensoleillé

«  Le centenaire méritait d’être célébré. Il est accompagné par l’image et le texte. Né en 1892, Jean Lurçat, poète, peintre et créateur de cartons pour des tapisseries qui le rendront inoubliable, avait laissé aussi d’autres indices avant de disparaître en 1966. Ce sont ceux-là que ce documentaire a tenté de retrouver, moins pour expliquer une œuvre que pour suivre l’itinéraire d’un artiste… »

René Caillié, le livre des sables

«  Cet intéressant  documentaire rend hommage à l’un des plus grands explorateurs français, René Caillié. Il retrace l’aventure d’un homme à la pensée moderne, attentif aux peuples rencontrés et dénonçant l’esclavagisme… »

René Caillié, le livre des sables

«  Il faut découvrir René Caillié. Il faut découvrir cet explorateur solitaire qui fut, en 1828, le premier européen à mettre un pied dans la mythique Tombouctou, au cœur du Mali. Comment ne pas être impressionné par son histoire, par sa volonté, par ce destin de souffrance et d’abnégation qu’il s’était choisi ? »

René Caillié, le livre des sables

«  En 1828, le Français René Caillié quitte sa verte Saintonge en vue d’atteindre Tombouctou….Ce film suit pas à pas l’itinéraire de l’aventurier. De nombreuses citations empruntées au Journal des sables enrichissent les témoignages des historiens. En filigrane, à travers les paroles de quelques-uns de ses habitants, se dessine le portrait de la mystérieuse ville malienne. »